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Absorption d'eau dans les grains

Storyboard

La vapeur d'eau interagit avec la surface des grains du sol, formant ainsi des couches d'eau à leur surface. Le degré de couverture dépend de la pression de la vapeur d'eau existante.

>Modèle

ID:(374, 0)



Absorption d'eau dans les grains

Storyboard

La vapeur d'eau interagit avec la surface des grains du sol, formant ainsi des couches d'eau à leur surface. Le degré de couverture dépend de la pression de la vapeur d'eau existante.

Variables

Symbole
Texte
Variable
Valeur
Unités
Calculer
Valor MKS
Unités MKS
$c_n$
c_n
Concentration de particules
1/m^3
$[SP]$
SP
Concentration des composants ayant réagi
ppb
$[P]$
P
Concentration du deuxième composant
ppb
$[S]$
S
Concentration du premier composant
ppb
$\alpha_p$
alpha_p
Constante de Langmuir
1/Pa
$\alpha$
alpha
Constante de Langmuir
m^3/mol
$\theta$
theta
Fraction de couverture d'eau
-
$RH$
RH
Humidité relative
%
$p$
p
Pression
Pa
$p_v$
p_v
Pression de vapeur d'eau non saturée
Pa
$p_s$
p_s
Pression de vapeur d'eau saturée
Pa
$K$
K
Quotient de concentration
ppb
$T$
T
Température absolue
K
$V$
V
Volume
m^3

Calculs


D'abord, sélectionnez l'équation:   à ,  puis, sélectionnez la variable:   à 

Symbole
Équation
Résolu
Traduit

Calculs

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Équation
Résolu
Traduit

 Variable   Donnée   Calculer   Cible :   Équation   À utiliser



Équations

A pression ($p$), le volume ($V$), a température absolue ($T$) et le nombre de taupes ($n$) sont li s par les lois physiques suivantes :

• Loi de Boyle
equation=582

• Loi de Charles
equation=583

• Loi de Gay-Lussac
equation=581

• Loi d'Avogadro
equation=580

Ces lois peuvent tre exprim es de mani re plus g n rale comme suit :

$\displaystyle\frac{pV}{nT}=cte$



Cette relation g n rale tablit que le produit de la pression et du volume divis par le nombre de moles et la temp rature reste constant :

equation

A fraction de couverture d'eau ($\theta$) peut tre calcul en utilisant a constante de Langmuir ($\alpha$) et a concentration molaire ($c_m$) avec l' quation :

equation=7973

Si nous rempla ons a concentration molaire ($c_m$) par a pression de vapeur d'eau non saturée ($p_v$) en utilisant a constante du gaz universel ($R_C$) et a température absolue ($T$) travers l' quation :

equation=4479

il devient vident que a constante de Langmuir ($\alpha$) peut tre remplac par a constante de Langmuir ($\alpha_p$) en utilisant l' quation :

equation=7976

ce qui donne :

equation

La relation entre a humidité relative ($RH$) avec a concentration de molécules de vapeur d'eau ($c_v$) et ERROR:4952,0 est exprim e comme suit :

equation=3175

et en reliant a pression ($p$) avec a concentration molaire ($c_m$), a température absolue ($T$), et a constante du gaz universel ($R_C$), nous obtenons :

equation=4479

Cela s'applique la pression de vapeur d'eau, o :

$p_v = c_v R T$



et la pression de vapeur satur e de l'eau :

$p_s = c_s R T$



ce qui donne l' quation suivante :

equation

En consid rant les espaces occup s a concentration du deuxième composant ($[P]$), les espaces vides associ s a concentration du premier composant ($[S]$), et les espaces occup s associ s a concentration des composants ayant réagi ($[SP]$) et le quotient de concentration ($K$) :

equation=4745

Si a fraction de couverture d'eau ($\theta$) repr sente la fraction de surface occup e par les mol cules :

$[SP] \propto \theta$ - espaces occup s sur le grain

$[S] \propto 1-\theta$ - espaces vides sur le grain, et

$[P] \propto c$ - concentration de vapeur d'eau dans l'espace intergranulaire

Alors, cela peut tre exprim comme

$\alpha=\displaystyle\frac{\theta}{(1-\theta)c}$



avec a constante de Langmuir ($\alpha$).

En r solvant pour a fraction de couverture d'eau ($\theta$), nous pouvons obtenir le degr de couverture en fonction de la pression de vapeur d'eau :

equation

Le différentiel d'énergie libre de Gibbs ($dG$) avec a tension superficielle ($\sigma$), a variation de surface ($dS$), le volume ($V$) et a variation de pression ($dp$) peut s'exprimer comme suit :

equation=15146

L'int gration de le différentiel d'énergie libre de Gibbs ($dG$) depuis l' tat o il n'y a pas de mol cules d'eau dans le m nisque jusqu' l' tat d' quilibre requiert deux int grales triviales qui donnent a différence d'énergie libre de Gibbs ($\Delta G$) :

$\displaystyle\int dG = \Delta G$



et l'int gration de l'ensemble de a conductivité thermique ($\lambda$) :

$\displaystyle\int \sigma dS = \sigma S$



Pour int grer $Vdp$, il est important de noter que le volume ($V$) r sulte de la diff rence entre le volume du liquide $V_l$ et celui du gaz $V_g$ :

$\Delta V = V_l - V_g \sim - V$



car $V_l\ll V_g$.

De plus, si nous prenons en compte l' quation des gaz parfaits avec a constante du gaz universel ($R_C$)

equation=3183

la troisi me int grale devient

$-nRT\displaystyle\int_{p_v}^{p_s}\displaystyle\frac{dp}{p}=-nRT\ln\left(\displaystyle\frac{p_s}{p_v}\right)$



En tenant compte de ces consid rations, a différence d'énergie libre de Gibbs ($\Delta G$) peut tre exprim comme suit :

equation

La somme de a différence d'énergie libre de Gibbs ($\Delta G$) avec a tension superficielle ($\sigma$), a section ($S$), a pression de vapeur d'eau non saturée ($p_v$), a pression de vapeur d'eau saturée ($p_s$), le volume ($V$), le volume molaire ($V_m$), a température absolue ($T$), et a constante du gaz universel ($R_C$) est gale :

equation=15148

L'int grale de a section ($S$) pour deux grains de le rayon d'un grain générique ($r_0$) avec un m nisque d'eau de le rayon du ménisque ($r_m$) dans la limite $r_m\ll r_0$ est donn e par :

$S=4\pi \displaystyle\int_0^{r_0r_m/(r_0+r_m)}du[\sqrt{r_0^2+2r_mr_0}-\sqrt{r_m^2-u^2}]\sim 4\pi \sqrt{2r_0r_m^3}$



Et pour le volume ($V$),

$V=4\pi\displaystyle\int_0^{r_0r_m/(r_0+r_m)}du[r_m^2+r_0(r_m-u)-\sqrt{(r_m(r_m+2r_0)(r_m^2-u^2)}]\sim 2\pi r_0 r_m^2$



Ainsi, avec la d finition de a humidité relative ($RH$),

equation=4478

nous obtenons :

equation

Pour que a différence d'énergie libre de Gibbs ($\Delta G$) soit minimis avec a tension superficielle ($\sigma$), le rayon du ménisque ($r_m$), le rayon d'un grain générique ($r_0$), a constante du gaz universel ($R_C$), a température absolue ($T$) et a humidité relative ($RH$), nous d finissons le rayon du ménisque ($r_m$) comme suit :

equation=15149

Nous pouvons d river a différence d'énergie libre de Gibbs ($\Delta G$) par rapport le rayon du ménisque ($r_m$) et galiser la d riv e z ro pour trouver la valeur de le rayon du ménisque ($r_m$) qui minimise a différence d'énergie libre de Gibbs ($\Delta G$). Cela nous conduit l' quation suivante :

$\displaystyle\frac{\partial\Delta G}{\partial r_m} = 6 \pi \sqrt{2 r_0 r_m } \sigma - 4 \pi r_m r_0 \displaystyle\frac{ R T }{ V_m }\ln\left(\displaystyle\frac{1}{ RH }\right)$



En r solvant pour le rayon du ménisque ($r_m$), nous obtenons :

equation


Exemples


mechanisms

Les mol cules d'eau suspendues sous forme de vapeur peuvent tre captur es par la surface des grains. Cette absorption est due aux forces intermol culaires.

D'autre part, en raison des oscillations thermiques, une mol cule absorb e peut acqu rir suffisamment d' nergie pour se lib rer.

Un tat d' quilibre est atteint lorsque le nombre de particules absorb es est gal au nombre de celles qui peuvent tre lib r es nouveau.

Lorsque l'on compare le mod le de Langmuir des syst mes r els, on observe des divergences significatives. C'est pourquoi plusieurs mod les ont t d velopp s, bas s sur l'ajustement de courbes des donn es exp rimentales.

Sur le graphique pr sent , on trouve les mod les de Langmuir une et deux couches du c t gauche, ainsi que les mod les de Freundlich et de Temkin :

image

[1] "A comparison of the Langmuir, Freundlich and Temkin equations to describe phosphate adsorption properties of soil." (Comparaison des quations de Langmuir, Freundlich et Temkin pour d crire les propri t s d'adsorption du phosphate dans le sol), Mead, J.A., Aust. J. Soil Res. 19:333-342 (1981).

Les mol cules l'int rieur d'un liquide subissent des attractions gales envers toutes leurs voisines. Cela a pour cons quence que les forces globalement exerc es s'annulent mutuellement, faisant en sorte que la mol cule se comporte comme une particule libre.

Cependant, la situation est diff rente pour les mol cules la surface. tant donn qu'il y a plus de mol cules l'int rieur du liquide g n rant une force effective vers l'int rieur, cela emp che les mol cules la surface de quitter le liquide.

La force d crite dans la section pr c dente donne naissance ce que l'on appelle la ERROR:tension superficielle. Cette tension superficielle cr e une sorte de membrane la surface, ce qui permet certains insectes de se d placer sur celle-ci sans couler. Par exemple, la patte de l'araign e sur l'image ne p n tre pas la surface, vitant ainsi de couler.

La tension superficielle est galement responsable de la forme des gouttes d'eau. L'attraction entre les mol cules tend faire en sorte que la goutte ait la plus petite surface possible, ce qui signifie qu'elle cherchera adopter une forme sph rique. Cela fait qu'un jet d'eau a tendance se briser en gouttes, et ces gouttes ont tendance tre sph riques ou fluctuer autour de cette forme.

La capillarit provoque l'accumulation de l'eau entre les grains du sol. Un m nisque se forme autour de la zone de jonction, comme indiqu par les fl ches rouges dans l'image ci-dessous :

image

a tension superficielle ($\sigma$) g n re une pression interne a pression de tension superficielle ($p_c$), qui d pend de ERROR:4962,0, contrecarrant la pression sur le m nisque g n r a pression de vapeur d'eau non saturée ($p_v$).

L'effet final du m nisque est de g n rer une force qui lie les grains du sol, fournissant une coh sion essentielle pour les propri t s m caniques du sol.

D'autre part, la m me tension entrave l' limination de l'eau du sol lors des processus de s chage.

Pour illustrer, envisagez la construction de ch teaux de sable sur la plage. Si nous ajoutons trop d'eau au sable, les m nisques ne se forment pas (le rayon est plus grand que le grain), et le sable n'est pas mall able. En revanche, lorsque le soleil s che le sable, la coh sion est perdue, et le ch teau s'effondre.

image

La g om trie est d finie par deux grains suppos s tre des sph res de le rayon d'un grain générique ($r_0$) en contact en un point. Dans cette r gion, une zone d'eau se forme, qui, gr ce a tension superficielle ($\sigma$), se concentre autour du point de contact et cr e un m nisque de le rayon du ménisque ($r_m$) dans son voisinage, de mani re similaire s'il existait un tore imaginaire, comme montr dans l'image ci-dessous :

image

&bull: a section ($S$) correspond la ligne du tore imaginaire entre les deux points de contact entre le grain et le tore, qui doit ensuite tre tourn e autour d'un axe passant par les deux centres des grains.
&bull: le volume ($V$) correspond la zone bleue, qui doit ensuite tre tourn e autour d'un axe passant par les deux centres des grains.


model

Les mol cules d'eau peuvent tre adsorb es par la surface des grains, c'est- -dire captur es et retenues par des forces intermol culaires.

La quantit retenue d pend la fois de ces forces intermol culaires et de la concentration ou de la pression de la vapeur d'eau pr sente la surface.

En 1918, Langmuir [1] a tudi l' quilibre entre un gaz de particules associ a concentration du deuxième composant ($[P]$), des espaces vides associ s a concentration du premier composant ($[S]$) et des espaces occup s associ s a concentration des composants ayant réagi ($[SP]$) :

$S + P\rightleftharpoons SP$



Il a propos que les concentrations ob issent une quation de ce type :

kyon

[1] "The Adsorption of Gases on Plane Surfaces of Glass, Mica, and Platinum" (L'adsorption des gaz sur des surfaces planes en verre, mica et platine) - Irving Langmuir, Journal of the American Chemical Society, Volume 40, Issue 9, pages 1361-1403 (1918).

En nous basant sur l'hypoth se que les concentrations dans une r action chimique peuvent tre compar es aux 'composants': les mol cules d'eau dans l'air (a concentration du deuxième composant ($[P]$)), les espaces vides la surface du grain (a concentration du premier composant ($[S]$)) et les emplacements occup s (a concentration des composants ayant réagi ($[SP]$)), nous pouvons mod liser la couverture du grain avec la relation en le quotient de concentration ($K$):

equation=4745

Ainsi, en utilisant a concentration molaire ($c_m$), a fraction de couverture d'eau ($\theta$) et a constante de Langmuir ($\alpha$) [1], nous obtenons le degr de couverture en fonction de la pression de vapeur d'eau :

kyon

La signification physique de la constante de Langmuir est un coefficient d'affinit de la surface du grain pour l'eau. Plus sa valeur est lev e, plus il est probable que les mol cules d'eau adh rent la surface.

[1] "The Constitution and Fundamental Properties of Solids and Liquids. Part I. Solids" (La Constitution et les Propri t s Fondamentales des Solides et des Liquides. Partie I. Solides) - Irving Langmuir, Journal of the American Chemical Society, Volume 38, Issue 11, pages 2221-2295 (1916).

L'obtention de a fraction de couverture d'eau ($\theta$) est bas e sur a concentration de particules ($c_n$) et peut donc tre exprim e en fonction de a pression de vapeur d'eau non saturée ($p_v$) en utilisant a constante du gaz universel ($R_C$) et a température absolue ($T$) via l' quation :

equation=4479

Dans ce cas, a constante de Langmuir ($\alpha$) peut tre remplac par a constante de Langmuir ($\alpha_p$) en utilisant l' quation :

kyon

Un article d crivant comment estimer la constante de Langmuir peut tre consult dans [1]. Un autre article tudie l'adsorption de diff rents ions la surface des grains [2]. Pour une constante de Langmuir ($\alpha$) de l'ordre de 1000 L/mol, tel que d crit dans l'article, a constante de Langmuir ($\alpha_p$) sera d'environ 4.1E-4 1/Pa temp rature ambiante.

[1] "Evaluation of thermodynamic parameters of cadmium adsorption on sand from Temkin adsorption isotherm" ( valuation des param tres thermodynamiques de l'adsorption du cadmium sur le sable partir de l'isotherme d'adsorption de Temkin), Abdul Satter Ali Khan, Turk J. Chem 36, 437-443 (2012).

[2] "A Comparison of the Langmuir, Freundlich and Temkin Equations to Describe Phosphate Sorption Characteristics of Some Representative Soils of Bangladesh" (Une comparaison des quations de Langmuir, Freundlich et Temkin pour d crire les caract ristiques d'adsorption du phosphate dans certains sols repr sentatifs du Bangladesh), Mohammad Z. Afsar, Sirajul Hoque, K.T. Osman, International Journal of Soil Science 7 (3) : 91-99 (2012).

A fraction de couverture d'eau ($\theta$) est calcul en fonction de a concentration de particules ($c_n$), ce qui permet de le r crire en termes de a pression de vapeur d'eau non saturée ($p_v$) en utilisant a constante du gaz universel ($R_C$) et a température absolue ($T$) travers l' quation :

equation=4479

Dans ce cas, l' quation pour a fraction de couverture d'eau ($\theta$) peut tre exprim e en termes de a pression de vapeur d'eau non saturée ($p_v$) comme suit :

kyon

A pression ($p$), le volume ($V$), a température absolue ($T$) et le nombre de taupes ($n$) sont li s par l' quation suivante :

kyon

o a constante du gaz universel ($R_C$) a une valeur de 8,314 J/K mol.

Le nombre de taupes ($n$) est d termin en divisant le volume ($V$) d'une substance par son le volume molaire ($V_m$), ce qui correspond au poids d'une mole de la substance.

Par cons quent, la relation suivante peut tre tablie :

kyon

Le volume molaire est exprim en m tres cubes par mole ($m^3/mol$).

Il est important de noter que le volume molaire d pend des conditions de pression et de temp rature dans lesquelles la substance se trouve, en particulier dans le cas d'un gaz. Il est donc d fini en tenant compte des conditions sp cifiques.

En g n ral, le différentiel d'énergie libre de Gibbs ($dG$) est gal a entropie ($S$), a variation de température ($dT$), le volume ($V$), et a variation de pression ($dp$), ce qui s'exprime comme suit :

equation=3541

Lors d'un changement de phase, il est n cessaire de prendre en compte la diff rence de cette expression entre les deux phases. Cependant, dans ce cas, a température absolue ($T$) ne varie pas, de sorte que le terme $SdT$ ne figure pas. D'autre part, en consid rant la variation des termes le volume ($V$) et a variation de pression ($dp$), cela comprend a variation de volume en changement de phase ($\Delta V$). Enfin, il faut inclure le terme a tension superficielle ($\sigma$) et a variation de surface ($dS$) :

kyon

En g n ral, le différentiel d'énergie libre de Gibbs ($dG$) est gal a tension superficielle ($\sigma$), a variation de surface ($dS$), le volume ($V$), et a variation de pression ($dp$), ce qui s'exprime comme suit :

equation=15146

Cependant, dans le cas du m nisque d'eau, a température absolue ($T$) ne varie pas, mais la surface change mesure que davantage de mol cules se condensent dans le volume ($V$) d'eau. Par cons quent, en int grant depuis l'absence de mol cules d'eau jusqu' atteindre l' tat d' quilibre, on obtient a différence d'énergie libre de Gibbs ($\Delta G$) en termes de a section ($S$), a pression de vapeur d'eau non saturée ($p_v$), a pression de vapeur d'eau saturée ($p_s$), le volume molaire ($V_m$), et a constante du gaz universel ($R_C$) :

kyon

A humidité relative ($RH$) peut tre exprim en termes de a pression de vapeur d'eau non saturée ($p_v$) et a pression de vapeur d'eau saturée ($p_s$) comme suitxa0:

kyon

A différence d'énergie libre de Gibbs ($\Delta G$) avec a tension superficielle ($\sigma$), a section ($S$), a pression de vapeur d'eau non saturée ($p_v$), a pression de vapeur d'eau saturée ($p_s$), le volume ($V$), le volume molaire ($V_m$), a température absolue ($T$) et a constante du gaz universel ($R_C$) quivaut :

quation=15148

Pour calculer a différence d'énergie libre de Gibbs ($\Delta G$), il est n cessaire de calculer a tension superficielle ($\sigma$) et le volume ($V$) pour le m nisque de rayon le rayon du ménisque ($r_m$), qui se forme entre les valeurs suppos es de le rayon d'un grain générique ($r_0$) :

kyon

La somme de a différence d'énergie libre de Gibbs ($\Delta G$) avec a tension superficielle ($\sigma$), le rayon du ménisque ($r_m$), le rayon d'un grain générique ($r_0$), a constante du gaz universel ($R_C$), a température absolue ($T$), et a humidité relative ($RH$) est gale :

quation=15149

Le choix de le rayon du ménisque ($r_m$) doit tre fait de mani re minimiser a différence d'énergie libre de Gibbs ($\Delta G$). Pour ce faire, nous pouvons d river a différence d'énergie libre de Gibbs ($\Delta G$) par rapport le rayon du ménisque ($r_m$), galer la d riv e z ro et r soudre pour le rayon du ménisque ($r_m$). Cela donne :

kyon


>Modèle

ID:(374, 0)



Mécanismes

Définition


ID:(15209, 0)



Notion d'absorption d'eau

Image

Les molécules d'eau suspendues sous forme de vapeur peuvent être capturées par la surface des grains. Cette absorption est due aux forces intermoléculaires.

D'autre part, en raison des oscillations thermiques, une molécule absorbée peut acquérir suffisamment d'énergie pour se libérer.

Un état d'équilibre est atteint lorsque le nombre de particules absorbées est égal au nombre de celles qui peuvent être libérées à nouveau.

ID:(115, 0)



Autres modèles

Noter

Lorsque l'on compare le modèle de Langmuir à des systèmes réels, on observe des divergences significatives. C'est pourquoi plusieurs modèles ont été développés, basés sur l'ajustement de courbes à des données expérimentales.

Sur le graphique présenté, on trouve les modèles de Langmuir à une et deux couches du côté gauche, ainsi que les modèles de Freundlich et de Temkin :

Graphiques des modèles Langmuir, Freundlich et Temkin [1]

[1] "A comparison of the Langmuir, Freundlich and Temkin equations to describe phosphate adsorption properties of soil." (Comparaison des équations de Langmuir, Freundlich et Temkin pour décrire les propriétés d'adsorption du phosphate dans le sol), Mead, J.A., Aust. J. Soil Res. 19:333-342 (1981).

ID:(7977, 0)



Tension superficielle

Citation

Les molécules à l'intérieur d'un liquide subissent des attractions égales envers toutes leurs voisines. Cela a pour conséquence que les forces globalement exercées s'annulent mutuellement, faisant en sorte que la molécule se comporte comme une particule libre.

Cependant, la situation est différente pour les molécules à la surface. Étant donné qu'il y a plus de molécules à l'intérieur du liquide générant une force effective vers l'intérieur, cela empêche les molécules à la surface de quitter le liquide.

La force décrite dans la section précédente donne naissance à ce que l'on appelle la ERROR:tension superficielle. Cette tension superficielle crée une sorte de membrane à la surface, ce qui permet à certains insectes de se déplacer sur celle-ci sans couler. Par exemple, la patte de l'araignée sur l'image ne pénètre pas la surface, évitant ainsi de couler.

La tension superficielle est également responsable de la forme des gouttes d'eau. L'attraction entre les molécules tend à faire en sorte que la goutte ait la plus petite surface possible, ce qui signifie qu'elle cherchera à adopter une forme sphérique. Cela fait qu'un jet d'eau a tendance à se briser en gouttes, et ces gouttes ont tendance à être sphériques ou à fluctuer autour de cette forme.

ID:(1551, 0)



Cohésion entre les grains

Exercer

La capillarité provoque l'accumulation de l'eau entre les grains du sol. Un ménisque se forme autour de la zone de jonction, comme indiqué par les flèches rouges dans l'image ci-dessous :



a tension superficielle ($\sigma$) génère une pression interne a pression de tension superficielle ($p_c$), qui dépend de ERROR:4962,0, contrecarrant la pression sur le ménisque généré A pression de vapeur d'eau non saturée ($p_v$).

L'effet final du ménisque est de générer une force qui lie les grains du sol, fournissant une cohésion essentielle pour les propriétés mécaniques du sol.

D'autre part, la même tension entrave l'élimination de l'eau du sol lors des processus de séchage.

Pour illustrer, envisagez la construction de châteaux de sable sur la plage. Si nous ajoutons trop d'eau au sable, les ménisques ne se forment pas (le rayon est plus grand que le grain), et le sable n'est pas malléable. En revanche, lorsque le soleil sèche le sable, la cohésion est perdue, et le château s'effondre.

ID:(10687, 0)



Géométrie du ménisque entre grains

Équation

La géométrie est définie par deux grains supposés être des sphères de le rayon d'un grain générique ($r_0$) en contact en un point. Dans cette région, une zone d'eau se forme, qui, grâce à A tension superficielle ($\sigma$), se concentre autour du point de contact et crée un ménisque de le rayon du ménisque ($r_m$) dans son voisinage, de manière similaire à s'il existait un tore imaginaire, comme montré dans l'image ci-dessous :



&bull: a section ($S$) correspond à la ligne du tore imaginaire entre les deux points de contact entre le grain et le tore, qui doit ensuite être tournée autour d'un axe passant par les deux centres des grains.
&bull: le volume ($V$) correspond à la zone bleue, qui doit ensuite être tournée autour d'un axe passant par les deux centres des grains.

ID:(15151, 0)



Modèle

Script


ID:(15233, 0)